appareil optique qui fait le tour des choses
Algérietelecom a récemment introduit des abonnement de fibre optiques pour tous, avec des prix certes chers au départ mais très prometteur pour le futur de la connectivité en Algérie, Mais Ai-je vraiment besoin de 100Mb/s ? Surtout avec les opérateurs mobiles qui offrent des abonnements très tentants, f aisons donc le tour de la chose pour comprendre de quoi
Lesujet a fait le tour du monde et terni la réputation du chef de l'Etat. Youssou N'Dour assure que M. Wade l'avait prévenu à la même époque : "Tes médias m'attaquent, je vais bloquer ta
Lecorps à lui seul est de seulement 825g, ce qui le rend plus léger que certains appareils photo reflex pro. Pour quelque chose de robuste et étanche aux intempéries, c'est tout un exploit.
Voici8 illusions d'optique qui paraissent irréelles : Crédit : Laura Williams. En photographie comme en dessin, il est possible de faire des miracles en termes d’illusion d’optique. La preuve avec ce cliché incroyable réalisé à l’aide d’un simple miroir. Il est l’œuvre de la photographe britannique basée au Royaume-Uni, Laura
Lesmartphone realme 6 Pro propose des performances tout à fait satisfaisantes surtout en ce qui concerne les applications bureautiques et multimédia. Il pêche un peu sur les jeux par rapport aux modèles plus haut de gamme ce qui est normal mais cela n'empêche pas de passer de bons moments ludiques en sa compagnie. On apprécie la fluidité de son écran et les
Rencontre Femme Badoo Digne Les Bains. La maçonnerie est un travail qui exige qualité et précision. En plus de ses qualités propres, un bon maçon doit avoir le bon outillage à portée de main. Et c’est dans cette optique que nous vous proposons cette liste des outils indispensables à la maçonnerie. SommaireLes outils de mesure du maçonLes outils pour la préparation du mortierLes outils de constructionLes outils électroportatifsLe dernier outil indispensable pour un maçon le devisEn résumé Les outils de mesure du maçon La maçonnerie est un métier qui demande le respect de certaines normes. De ce fait, le maçon doit avoir tout un arsenal d’outils de mesure pour travailler avec précision Le niveau à bulle est un outil indispensable pour vérifier l’aplomb de toutes les constructions Le fil à plomb sert surtout à vérifier la verticalité d’un mur. C’est en quelque sorte l’ancêtre du niveau à bulle L’équerre est faite en métal et existe sous plusieurs tailles. Il indique un angle de 90° Le cordeau du maçon est sans doute le moins utilisé de tous les outils de mesure. Il permet cependant de bien visualiser les lignes droites La règle permet de contrôler la rectitude des lignes Le mètre est l’un des indispensables que le maçon doit absolument avoir sur lui Les outils pour la préparation du mortier Pour construire un mur, le maçon doit faire du mortier pour assurer sa solidité. Dans cet exercice, il peut s’aider des outils suivants La pelle est utilisée pour mélanger le mortier et le béton. La lame est carrée ou ronde. Le seau est un outil que tout bon maçon devrait avoir. Il existe en plusieurs tailles et est généralement fait en plastique dur pour pouvoir contenir différents matériaux eau, mortier, ciment… La brouette sert à transporter tout le nécessaire à la maçonnerie et à la construction. Autrefois en bois, la brouette est aujourd’hui faite en métal pour lui donner une plus grande solidité. L’auge ou gamate est un réceptacle dans lequel le maçon malaxe son mortier ou son plâtre. Cet outil est disponible en plastique ou en métal Les outils de construction Maintenant qu’on a fait le tour des indispensables à la préparation du mortier, il est temps de passer à la construction proprement dite. Pour cette étape, le maçon doit disposer de toute une variété d’outils à main La truelle mécanique ou truelle est l’outil de base du maçon. Elle permet de prendre, d’étaler et d’enlever le trop-plein de mortier La truelle Berthelet est faite pour égaliser le mortier ou le plâtre. Il a la particularité de posséder un côté dentelé La taloche est faite pour lisser. Elle est là pour assurer les finitions une fois le mortier appliqué Le platoir ressemble beaucoup à la taloche. De par sa conception semi-rigide, il aide pour le lissage Le marteau, ou plus spécifiquement appelé marteau du menuisier, sert à enfoncer et arracher les pointes Le martelet est utilisé pour couper les briques et les parpaings, ou enlever les clous sur les planches Les masses, massettes et burins sont des outils pour démolir les murs Les outils électroportatifs De nos jours, il existe toute une diversité d’appareils électroportatifs qui permettent au maçon de gagner du temps. Parmi ces outils, la découpeuse et le burineur sont les plus sollicités par les professionnels de la maçonnerie. La découpeuse Normalement, un maçon dispose de ciseaux pour découper les briques ou les parpaings. Mais pour ne pas trop faire d’effort, il est conseillé de s’équiper d’une découpeuse thermique. Cette machine puissante découpe le béton, la pierre, l’asphalte ou le carrelage. Le burineur Pour détruire la maçonnerie existante avant d’en commencer une nouvelle, le burineur est le parfait compagnon. Cet outil est affecté aux travaux difficiles comme démolir un carrelage ou retirer les enduits. Le dernier outil indispensable pour un maçon le devis L’essentiel du travail de maçon va consister à utiliser les éléments de la liste, qui se trouvent dans cet article, mais il ne faut pourtant pas oublier une chose importante, sans quoi tous vos outils resteront à l’arrière de votre camion trouver des clients et leurs envoyer des devis. Nous vous accordons, ce n’est pas forcément la partie la plus agréable du métier, mais elle reste indispensable. C’est pour cette raison qu’aujourd’hui, nous avons décidé de vous parler d’un autre outil indispensable, qui va vous permettre de gagner énormément de temps pour créer vos devis. Vous pourrez ainsi vous consacrer à ce que vous aimez faire, plutôt que de devoir rester des heures devant votre écran. Cette solution va aussi bien servir Aux artisans Aux chefs d’entreprise Aux maîtres d’œuvre Mais cet outil peut également servir Aux professionnels de l’immobilier, pour chiffrer le cout de certains travaux de rénovation, afin d’estimer un bien au prix le plus juste Aux collectivités, pour budgéter les futurs chantiers et estimer si les devis envoyés par les professionnels sont corrects. Aux écoles, pour permettre aux élèves avec des cas concrets, d’étudier le coût des travaux comme s’ils étaient déjà en activité Tout naturellement, vous vous posez la question de savoir comment fonctionne cette solution ? Sans rentrer dans des détails trop techniques, vous aurez accès à la bibliothèque Batichiffrage pour les maçons. Vous n’aurez ainsi plus besoin de chercher des références dans le catalogue de vos fournisseurs pendant des heures, puisque tout est déjà en ligne. Il n’y aura ainsi aucune chance que vous sous-évaluez la valeur financière d’un chantier, ou de les surévaluer et de perdre le chantier. Vous l’avez compris, BatiChiffrage vous permettra d’envoyer un devis avec des prix les plus juste possibles, pour vous et vos futurs clients. Au niveau du prix, cette solution fonctionne par abonnement au mois, annuel, avec un ou plusieurs utilisateurs. Vous pourrez donc tester sa rentabilité sans risque. Obat vous offre même la possibilité de tester BatiChiffrage pendant 24 heures gratuitement. Cet outil vous permettra enfin de transformer vos devis en facture, en quelques clics seulement. Votre comptabilité n’en sera que plus simple à gérer. Mais attention, une fois que vous y aurez goûté, il y a peu de chance que vous arriviez à vous en passer, tant cet outil vous fera gagner un temps précieux. Il y a des chances que votre comptable l’adore également. En résumé Dans la présentation de notre liste, on a pu voir qu’il existe une large panoplie d’outils et appareils pour la maçonnerie. De la truelle en passant par le seau jusqu’au burineur, c’est avec tout un attirail que le maçon effectue ses travaux. Certains sont plus utiles que d’autres, mais si l’on désire se lancer dans la maçonnerie professionnelle, il est judicieux de les posséder tous. Vous pourriez également être intéressé A propos de l'auteur Chez Guide Outillage, c’est André que l’on considère comme le spécialiste de l’outillage stationnaire. Il faut dire qu’il a été formateur en atelier pendant 15 ans avant de rejoindre notre équipe pour devenir testeur. Vous pouvez retrouver tous les conseils d’André dans notre blog mais aussi de nombreux guides qu'il a rédigé rien que pour vous.
Le nombre de touristes voyageant avec un reflex ou un hybride étant aujourd’hui élevé, il est peu probable que vous rencontriez le moindre problème en prenant l’avion avec votre matériel photo. Néanmoins, voici quelques conseils afin de partir plus sereinement. Je ne sais pas pour vous, mais à chaque fois que je me retrouve dans la file d’attente de l’aéroport, à attendre qu’on inspecte mes affaires, je stresse un peu. Je repasse dans ma tête tout ce qu’il y a dans mon sac, vérifiant, même si c’est trop tard, ce que j’aurais pu y oublier. Ma gourde est vide, ok. Mon Opinel est dans la valise qui va en soute, ok. Vivement l’embarquement ! Personne n’a envie de devoir choisir entre embarquer ou se voir confisquer son matériel. Voici donc quelques conseils pour voyager avec votre matériel photo mais rassurez-vous, il est peu probable que vous ayez un soucis ! Matériel photo en soute ou en cabine ? Avant de partir, veillez à bien préparer votre sac photo. Personnellement, je commence par le vider intégralement afin de vérifier qu’il ne reste aucun oubli d’un précédent voyage dans les petites poches. Ensuite, je pose à côté le matériel que j’ai envie ou besoin de prendre pour ce voyage. Et enfin, j’essaie d’optimiser le sac pour que tout soit bien rangé et protégé. Lorsque vous préparez votre sac photo, pensez à ne pas le surcharger, et gardez en tête qu’il vous faudra certainement l’ouvrir et le vider pour passer la sécurité. N’hésitez pas, également, à vous renseigner sur la compagnie aérienne que vous allez emprunter toutes ont des règles différentes quant à la taille du bagage cabine. Sur un vol low-cost, par exemple, il vaudra généralement mieux éviter un sac trop gros. Si vous avez du mal à choisir quel matériel photo emporter selon votre type de voyage, vous trouverez quelques exemples sur cet article. L’appareil photo et les objectifs en cabine ! Il y a une règle d’or tout ce qui a de la valeur, et/ou est fragile, reste avec vous. C’est une évidence, mais j’entends régulièrement des histoires de photographes ayant laissé leur beau 5D tout neuf en soute sans le retrouver à l’arrivée. Quand bien même il n’y aurait aucun risque de vol, vous avez vu l’état des valises sur le tapis ? Les petits chocs peuvent faire bouger les lentilles à l’intérieur des optiques, et rendre les objectifs inutilisables, alors imaginez si on le lance par terre ou si on empile 5 valises de 23kg chacune dessus ! Donc, vraiment, ne mettez rien de fragile et de valeur en soute, même si c’est bien protégé dans les vêtements ! À commencer par votre appareil photo, ses objectifs, et tous les accessoires fragiles. L’appareil photo, qu’il s’agisse d’un gros reflex ou d’un petit compact, va en cabine, avec vous. Et les objectifs aussi. Les ordinateurs et tablettes De la même manière, l’ordinateur ne va jamais en soute. Jamais. Sous aucun prétexte. Même s’il est gros et lourd. Si vous y tenez, si vous tenez aux fichiers qui sont dessus, prenez-le avec vous en cabine. S’il ne loge pas dans votre sac photo, et que vous n’avez pas de housse de transport pour votre ordinateur, glissez-le dans un sac en tissu tote bag il sera toujours mieux là que dans votre valise ou sac en soute. Et c’est pareil pour les tablettes ça ne va jamais en soute. Sauf si vous voulez vous en débarrasser... Sac photo et poids autorisé en cabine Le problème, c’est le poids. Je pourrais vous dire que personne n’a jamais pesé mon bagage à main, mais nuançons en reprenant mon premier point personne n’a ENCORE pesé mon bagage, et ça m’arrivera peut-être la prochaine fois. Donc, renseignez-vous auprès de la compagnie quant au poids et à la taille des sacs admis en cabine et n’abusez pas si vous voulez être sûrs de pouvoir garder votre matériel avec vous, évitez la grosse valise de 30kg ; préférez le sac à dos normal. Si vous êtes au-dessus du poids, retirez ce qui peut l’être l’énorme Lonely Planet devrait survivre en soute, par exemple. Si vous êtes accompagnés, passez en premier, vous pourrez laisser un objectif à un ami en cas de problème. Vous pouvez également passer votre appareil autour de votre cou, glisser des objectifs dans vos poches ! Sachez que la question du poids du sac photo se pose quasi-exclusivement à l’enregistrement. C’est le seul moment où le personnel de la compagnie fait vraiment attention au sac. Mon sac photo fait en général entre 10 et 15kg. Je n’ai eu un soucis qu’une seule fois, avec une compagnie qui assurait des liaisons avec des tout petits avions entre des îles du pacifique le poids autorisé par passager était de 3kg, soit le poids de mon appareil avec un objectif. J’ai dû payer un supplément hors de prix pour garder mon matériel avec moi. J’avais fait l’erreur de ne pas me renseigner sur la compagnie au préalable. La question des batteries Les batteries sont supposées voyager chargées et placées dans l’appareil ou dans des étuis de sécurité. Elles sont strictement interdites en soute en raison de leur caractère hautement inflammable. Jamais personne ne vous dira rien pour des batteries de reflex. Par contre, transporter des batteries de drone peut s’avérer plus elles sont beaucoup plus grosses. Afin de ne pas avoir de soucis, je vous conseille vivement d’investir dans un petit étui conçu à cet effet sac Lipo pour batterie de DJI Mavic, par exemple, ou l’équivalent pour des batteries du DJI spark. Peut-on prendre un trépied en cabine ? Le trépied, il va en soute. Si vous cherchez sur le net ou demandez autour de vous, vous trouverez des tas de gens qui ont fait ci ou ça et n’ont pas eu de problème. C’est formidable, mais ça ne veut pas dire que vous n’en aurez pas quand ce sera votre tour. À titre d’exemple, la douane indienne a tenu à vider intégralement mon sac et à tout fouiller pendant qu’un ami passait tranquillement à côté avec une seringue dans le sien, sans qu’on ne lui en demande l’ordonnance. Selon les destinations, les compagnies, et gens que vous aurez en face de vous, ça peut varier énormément. Ne prenez pas de risque, la copine du cousin de la voisine est peut-être passée avec son trépied, mais ça ne vous garantit pas qu’il en sera de même pour vous. Qu’est-ce qu’on ne doit surtout pas prendre en cabine ? Certains objets sont interdits en cabine. Vous êtes déjà au courant pour les couteaux, ciseaux et dangereuses bouteilles d’eau, mais quid des accessoires photo ? Si vous emportez des produits liquides pour nettoyer vos optiques, veillez à respecter la règle des 100ml maximum. Évitez également de mettre dans votre sac cabine des bombes d’air sous pression ; nettoyer votre ordinateur pourra attendre quelques heures. Enfin, comme précisé plus haut, rangez votre trépied dans votre bagage en soute, sous peine de vous le faire confisquer. Le drone, on le met où ? Le drone, il reste dans le bagage cabine, à moins d’avoir une valise de transport rigide spécialisée. Quant à ses batteries, elles sont tout simplement interdites en soute vous avez obligation de les prendre en cabine avec vous, pour des raisons de sécurité les batteries au lithium peuvent prendre feu facilement. Si vous avez des batteries de rechange, veillez à les placer dans des étuis de sécurité. Comment réagir si on vous dit que votre sac photo est trop lourd pour aller en cabine ? Si on vous dit que vous ne pouvez pas prendre votre sac, qu’il est trop gros, que faire ? Restez cordial et présentez ce qu’il contient à votre interlocuteur. Il y a de fortes chances que la compagnie ne prenne pas le risque de mettre du matériel coûteux en soute, ils n’ont pas envie d’en prendre la responsabilité ! Dans tous les cas, restez poli et souriant, ça se passera mieux qu’en s’énervant. Si vraiment ça ne suffit pas, hé bien sortez ce que vous pouvez du sac pour le garder avec vous appareil autour du cou, objectif le plus lourd vissé dessus. Là encore, si vous êtes accompagné, demandez à placer un objectif dans le sac d’un de vos amis. Les sacs lourds dépassant le poids autorisé par la compagnie pour un bagage cabine doivent être placés sous le siège devant vous et non dans les compartiments. Personnellement, mes sacs photos ne logent pas tous sous le siège l’un d’eux n’est pas si grand mais est bombé », et j’ai donc toujours ignoré cette règle. Mais si on vous dit que votre sac est trop lourd pour aller en cabine, n’hésitez pas à vous engager à ne pas placer votre sac dans le compartiment supérieur. Passer la sécurité de l’aéroport avec du matériel photo Pour le passage de la sécurité, ça sera différent à chaque fois. Lisez les instructions on peut vous demander d’ouvrir le sac, de le vider, etc., ne tentez pas l’humour, et n’ayez pas peur pour vos cartes mémoires, elles ne risquent rien. Les rayons X des machines ne peuvent pas endommager votre matériel. La seules exception reste les pellicules. Vous pouvez demander à ce que leur vérification soit faite à la main, par un agent. Passer la douane avec son matériel photo Le but de la douane, c’est de vérifier que vous avez bien payé les taxes sur votre matériel je pars du principe qu’aucun de vous n’exporte de drogue, donc on va se concentrer sur la photo. Afin de prouver que c’est bien votre matériel acheté en UE, il y a plusieurs solutions ; certaines plus efficaces que d’autres... Voyager avec ses factures de matériel photo ? Vous pourriez envisager de prendre vos factures avec votre appareil, afin de prouver à la douane où vous avez acheté votre matériel. Je le lis de temps en temps, et c’est une grosse ânerie. On ne transporte jamais ses factures avec son matériel. Si vous vous faîtes voler, vous offrez la preuve d’achat en prime, et vous galérez pour vous faire rembourser par votre assurance. Les factures, elles restent chez vous, au chaud et au sec, mais surtout pas dans votre sac. Une seconde option serait de faire des photocopies des factures, ou une copie sur le smartphone. C’est toujours mieux que de prendre les originales, mais ce n’est pas toujours très pratique. La carte de libre circulation La meilleure solution, est la carte de libre circulation. On en parle beaucoup moins et pourtant c’est à la fois beaucoup plus pratique et beaucoup plus officiel c’est établi par la douane, avec le cachet de la douane, et reconnu à l’international, bien sûr. En gros, vous avez un carton qui ressemble à ça j’ai effacé le nom de l’agent et sa signature, et j’ai déménagé depuis, héhé Ce sera le passeport de votre matériel ça peut servir aussi à autre chose que des appareils photo, mais restons sur le sujet qui nous concerne. La carte de libre circulation est nominative, gratuite, et présente les numéros de série de chacun de vos objectifs ou boîtiers. Ainsi, en un coup d’œil la douane saura qu’elle peut vous laisser passer l’effet tampon officiel. Il n’y a que 4 cases, et c’est en théorie un appareil/objectif par case. L’employé du bureau des douanes risque donc de vous conseiller de vous limiter au matériel cher, ou de placer plusieurs objectifs par case, même la rigueur voudrait plutôt qu’il établisse une seconde carte de libre circulation, voire une troisième. Comment l’obtenir ? C’est simple Réunir le matériel et les factures. Pas la peine de faire inscrire le moindre accessoire sur la carte non plus. Concentrez-vous sur ce qui a de la valeur objectifs, boîtiers, éventuellement trépied. Pour le matériel acheté hors Union Européenne, il vous faut prouver que vous avez payer la TVA dessus. Repérer où se trouvent les numéros de série, ça facilitera le boulot du douanier. On met tout ça dans le sac nouvellement acheté. On se rend à un bureau des douanes. On tombe en général sur quelqu’un de gentil et c’est très rapide. Résultat, on perd une fois 30 minutes mais on a une carte valable 10 ans et renouvelable qui facilitera les choses. Et si vous avez acheté du matériel à l’étranger ? Si votre matériel provient d’une zone hors UE, que vous l’aillez acheté sur internet ou vous même en Asie ou aux Etats-Unis à lire acheter du matériel photo en voyage, vous êtes supposés vous acquitter des taxes. Je ne vais pas vous conseiller de le faire ou non, à vous de voir ! Madame Oreille Je suis photographe et j'ai la chance de voyager partout dans le monde. Sur ce blog, vous trouverez à la fois des récits de voyages seule ou avec Petite Oreille, ma fille, que j'essaie d'emmener partout depuis qu'elle est bébé ! et des conseils pour réussir vos propres photos de voyage.
Bonjour, Comme vous avez choisi notre site Web pour trouver la réponse à cette étape du jeu, vous ne serez pas déçu. En effet, nous avons préparé les solutions de CodyCross Appareil optique qui fait le tour des choses ». Ce jeu est développé par Fanatee Games, contient plein de niveaux. C’est la tant attendue version Française du jeu. On doit trouver des mots et les placer sur la grille des mots croisés, les mots sont à trouver à partir de leurs définitions. Le jeu contient plusieurs niveaux difficiles qui nécessitent une bonne connaissance générale des thèmes politique, littérature, mathématiques, sciences, histoire et diverses autres catégories de culture générale. Nous avons trouvé les réponses à ce niveau et les partageons avec vous afin que vous puissiez continuer votre progression dans le jeu sans difficulté. Si vous cherchez des réponses, alors vous êtes dans le bon sujet. Le jeu est divisé en plusieurs mondes, groupes de puzzles et des grilles, la solution est proposée dans l’ordre d’apparition des puzzles. Vous pouvez également consulter les niveaux restants en visitant le sujet suivant Solution Codycross PERISCOPE Vous pouvez maintenant revenir au niveau en question et retrouver la suite des puzzles Solution Codycross Londres Groupe 482 Grille 5. Si vous avez une remarque alors n’hésitez pas à laisser un commentaire. Si vous souhaiter retrouver le groupe de grilles que vous êtes entrain de résoudre alors vous pouvez cliquer sur le sujet mentionné plus haut pour retrouver la liste complète des définitions à trouver. Merci Kassidi Amateur des jeux d'escape, d'énigmes et de quizz. J'ai créé ce site pour y mettre les solutions des jeux que j'ai essayés. This div height required for enabling the sticky sidebar
Avant d’aller en Argentine j’ai décidé de changer d’appareil photo afin de monter un peu en gamme et d’avoir une meilleure qualité d’image j’ai donc choisi de remplacer mon ancien D3100 par le nouveau D5600 de Nikon. Après ce voyage de 3 semaines, et plusieurs mois d’utilisation, j’ai pu me faire une idée assez précise de ce nouvel appareil photo et je vous livre donc ici mes impressions de ce boîtier reflex milieu de gamme grand public. D5600 et D3100 côte à côte, les dimensions sont casi-identiques Pourquoi changer d’appareil photo ? J’ai souvent lu et entendu que ce n’était pas le matériel qui faisait les bonnes photos mais la maîtrise et le talent du photographe. Je me demande bien dans ce cas-là à quoi peut bien servir le matériel pro. Dans mon cas, je possédais le D3100, entrée de gamme de Nikon, depuis 2011 et j’avais appris à très bien l’utiliser. J’en étais arrivée à un point où je pensais avoir atteint les limites de mon boitier bien que celui-ci était équipé d’une bonne optique, mes photos manquaient de piqué, et souvent de luminosité. En conditions difficiles, particulièrement en faible luminosité, comme dans les fêtes ou en montagne par temps mitigé, il m’était très difficile de réaliser des images exploitables. Il a bien fallu que je me rende à l’évidence mon boitier m’empêchait d’aller plus loin. Ecran d’affichage des paramètres Ecran de réglages du 5600 Cependant, le fait d’avoir appris à photographier avec un vieux boitier est très bénéfique on apprend à ne compter que sur ses propres compétences et à ne pas dépendre des automatismes du boitier. Mes photos en mode manuel étaient de loin plus réussies que le mode auto de mon boitier. La moindre erreur ne pardonne pas non plus un oubli de réglage des isos, ou de réglage de l’autofocus et la photo était floue. C’est un peu comme avoir un professeur très exigeant ! Ou bien apprendre le calcul à la main avant d’utiliser la calculatrice ! Cela permet de maîtriser à fond tous les aspects de l’appareil afin d’en tirer le meilleur résultat possible. Lorsque je pense que les premiers appareils reflex argentiques n’avaient même pas d’autofocus, je n’en suis que plus admirative des photographes de l’époque ! cela dit, on était beaucoup moins exigeant sur la qualité de la photo les définitions élevées des appareils actuels ne tolèrent pas beaucoup les écarts. Reflex vs Hybride pourquoi investir encore dans un reflex ? C’est forcément la question que l’on se pose en premier quand vient le moment de changer de boitier reflex grand public pourquoi ne pas tout simplement passer à l’hybride ? D’autant plus que les derniers appareils ont tellement évolué qu’ils viennent concurrencer directement les reflex en qualité ! L’avantage avancé de ces boîtiers est leur moindre encombrement et leur poid. Comme j’ai des problèmes de dos, ce dernier point m’intéressait tout particulièrement. Je me suis donc penchée sérieusement sur la question, surtout quand je vois que de très nombreux blogueurs voyage ont délaissé leur reflex au profil d’un hybride. J’ai donc commencé à chercher l’équivalent de ce que j’avais déjà, c’est à dire un hybride avec un capteur APC-S certains ont des capteurs plus petits et avec une optique à ouverture constante J’ai vite réalisé que les optiques des hybrides sont beaucoup moins lumineuses que celles des reflex et que si je voulais rester sur la même performance, le zoom allait être très cher et très encombrant. A quoi bon ? Le zoom du Sony A6000 par exemple n’ouvre qu’à en ouverture maximale et voici l’équivalent de mon zoom Gloups! L’équivalent hybride de mon Nikon + zoom à allait donc me couter plus de 1000€ et finalement peser à peu près le même poids. De plus l’absence de viseur optique est un très gros défaut pour moi. Donc exit l’hybride. Résumé des avantages et inconvénients de chaque appareil Reflex grand public APS-C moins cher à performances égales viseur optique de très bonne qualité optiques plus lumineuses bien meilleure batterie préhension plus ergonomique poids plus ou moins équivalent parc d’optiques plus développé les moins plus encombrant moins discret Hybride capteur APS-C boîtier plus compact automatismes plus performants appareil plus discret et passe-partout certains boîtiers sont moins lourds moins bruyants les moins plus cher pas de viseur optique qualité des photos encore légèrement inférieure aux reflex Dimensions du D5600 Ce qui surprend la première fois que l’on prend le D5600 en main c’est son poids celui-ci est incroyablement léger ! Mon ancien D3100 était déjà un poids plume, mais le D5600 est encore plus léger, ce qui est vraiment surprenant. Son gabarit est par contre à peu près similaire, c’est un boîtier très petit, qui rentrera dans la plupart des sacs à main. L’objectif cependant risque de l’alourdir de façon conséquente. De ce côté là je ne suis pas sûre que les hybrides fassent beaucoup mieux ils sont plus petits certes, mais leur poid reste équivalent. J’ai récemment réussi à faire rentrer mon reflex dans le compartiment haut de mon sac de rando ! C’est super pratique ! D3100 à gauche et D5600 à droite Ergonomie du boîtier et de l’écran Sur ce point Nikon n’a pas choisi de révolutionner son boitier de ce fait, l’ergonomie générale du boitier reste peu ou prou la même que sur mon D3100. Seuls quelques boutons ont changé un peu de place, notamment à cause du fait que l’écran à un peu grossi, ce qui facilite beaucoup le visionnage des photos. Autre point important cet écran est tactile ! Bien qu’au départ je n’en voyais pas du tout l’utilité, et que j’avais mal compris son fonctionnement, je le trouve aujourd’hui très utile. En effet, l’écran tactile ne vient pas du tout remplacer ici les boutons, mais apporte une navigation beaucoup plus aisée dans les menus par exemple, je change souvent le format de mes photos, je n’ai plus qu’à appuyer directement sur l’écran sur l’icône du format, faire mon choix et le tour est joué ! Cela me prend deux fois moins de temps que de le faire avec les boutons de l’appareil. Par contre, dans certaines conditions particulières les doigts mouillés, ou avec des gants les boutons physiques nous permettent toujours de faire la même chose, bien qu’avec la disposition des icônes légèrement modifiée pour faciliter l’accès aux doigts, cette navigation soit un peu plus longue plus d’icônes à parcourir qu’avant. Autre particularité vraiment étrange sur ce modèle à cause du manque de place, Nikon a décidé de placer le bouton du retardateur, auparavant sur la molette du déclencheur, en dessous de l’objectif ! Si je ne l’avais pas lu sur internet, j’aurais cherché ce bouton pendant très longtemps ! Quelle curieuse idée ! Dernier changement pour moi l’écran orientable que n’avait pas mon ancien reflex celui-ci est très pratique, même si je n’ai pas toujours le réflexe de l’utiliser. Il m’a bien servi à Iguazu, quand coincée derrière la foule, je n’avais d’autre choix que de photographier la main levée au-dessus des gens devant moi j’ai donc orienté l’écran de telle sorte à ce que je puisse bien viser avant de shooter, bien pratique. Transfert de photos vers le smartphone Snapbridge Je dois avouer que cette fonctionalité est une celles qui m’ont fait sauté le pas pour cet achat. En effet, mon smartphone a un appareil photo bien pourri, ce qui m’obligeait à prendre des photos avec celui de monsieur, me les envoyer, puis les mettre en ligne…pas terrible donc en gros mes réseaux sociaux étaient toujours vices !. Snapbridge offre donc l’avantage de prendre toutes les photos avec le même appareil et donc de tout avoir sur la même carte SD puis de partager quelques photos avec son smartphone pour les mettre en ligne. Bien que la fonctionnalité soit récente, elle fonctionne plutôt pas mal depuis la mise à jour à faire soi-même sur son boitier. L’application à télécharger sur son smartphone n’est pas du tout intuitive je n’ai toujours pas compris la logique malgré les transferts que j’ai réussi à faire. Pourquoi l’application m’oblige-t-elle à activer mon bluetooth pour ensuite procéder au transfert par wifi ? Il faut consacrer quelques minutes à son paramétrage pour définir la taille des photos, le mode de transfert au départ l’appli a transféré l’intégralité des photos sur mon smartphone au lieu de se contenter de la sélection ! et la fréquence il est possible de transférer les photos à chaque prise de vue. Du côté du boitier, attention à bien vérifier le mode avion celui-ci empêche l’application de s’activer mais vous fait économiser la batterie. Points négatifs Bien que ce boitier soit une amélioration considérable par rapport à mon ancien D3100, je lui reproche quand même certains aspects. Bruit Lorsque j’ai testé l’appareil pour la première fois, j’étais convaincue qu’il était défectueux et je l’ai renvoyé. Mauvaise surprise, le remplaçant fait le même bruit horrible au déclanchement, bien supérieur à celui du D3100 avec la même optique ! Je ne m’explique pas ce bruit, d’autant que parfois quand l’appareil est éteint, j’entends des pièces bouger au niveau de l’obturateur, très rassurant … Menus Le plus embêtant étant la navigation dans les menus je m’explique, lorsque je veux par exemple faire une mise au point ciblée, je rentre dans le menu et je choisi mon collimateur sur l’écran tactile. Ensuite de remet mon oeil sur le viseur et déclenche pour ma photo, et là je me rend compte que ça ne fonctionne pas. Et oui, il faut après chaque réglage il faut penser à sortir manuellement du menu pour pouvoir prendre sa photo, c’est très énervant ! Je n’avais pas ce problème sur mon D3100, alors pourquoi avoir ajouté ce blocage ? Format RAW Ma plus mauvaise surprise a été de me rendre compte la veille de mon voyage en Argentine que les photos en format RAW de ce boitier avaient triplé de volume par rapport à mon D3100 ! Résultat, ma carte SD risquait de ne pas me suffire pour shooter pendant 3 semaines consécutives et je n’avais plus le temps d’acheter une nouvelle carte mémoire. J’en ai finalement pris plusieures, et je me suis limitée en choisissant à chaque prise de vue le format le plus pertinent. Mais je me questionne est-ce que Nikon travaille l’optimisation de la taille de ses photos ? car la mémoire de mon pc a une limite … Par ailleurs, ce nouveau format de RAW n’est détecté ni par ma version de lightroom, ni par windows 10, la joie …. J’ai du téléchargé un petit utilitaire pour convertire toutes mes photos afin de les exploiter. Snapbridge Depuis quelques mois la liaison entre mon reflex et l’application ne se fait plus. Finalement l’appli est tellement mal foutue qu’elle n’aura pas fonctionné bien longtemps, ce qui est vraiment dommage car c’est une des raisons qui m’ont poussée à investir dans ce modèle. Conclusion Je ne regrette pas mon achat tant cet appareil a été amélioré comparé à mon D3100. Il m’a permis d’améliorer grandement la qualité de mes photos tout du moins à mes yeux et de m’offrir de nouvelles fonctionnalités dont je ne pensais pas avoir besoin ! pour vous en convaincre, je vous laisse regarder mes photos de l’Argentine ou encore celles de Venise ! Avec de telles performances, je ne vois pas pour ma part d’intérêt à passer à la gamme supérieures D7500 ou encore la gamme pro APS-C qui contient des boitiers bien plus volumineux et plus lourds. Par contre j’ai un peu le ressenti que Nikon a sorti ce modèle à la va-vite, il me parait un peu baclé le bruit au déclenchement, l’application Snapbridge qui ne fonctionne pas, etc. Cet appareil aurait vraiment été parfait s’ils étaient allées jusqu’au bout de leur développement. Je suis presque sure que cet appareil me lâchera bien avant mon fidèle D3100 qui fonctionne encore parfaitement. Edit Lors d’une sortie photo, le reflex a tout simplement arrêté de faire la mise au point. J’ai tout vérifié, tout était bien réglé. La fonction est revenue d’elle-même, mais me laisse très inquiète quand au devenir de ce boitier. Autre bug Récemment le reflex a eu de plus en plus de mal à accéder à la carte SD lorsque j’allumais l’appareil, celui-ci ne détectait plus la carte SD. La solution, trouvée sur internet, est de toujours formater la carte SD avec le boitier et non l’ordinateur ! Avantages Qualité des photos Snapbridge, même s’il est perfectible Poid très faible Inconvénients Bruit au déclenchement et les pièces qui bougent lorsque l’appareil est éteint! Format du nouveau RAW Nécessité de sortir des menus pour déclencher Fiabilité discutable
Le contexte du test Deux appareils sortis du placard restés inutilisés pendant plusieurs années, combien ? beaucoup ! Hasselblad 500C à gauche, Mamiya C330 à droite Bref deux appareils dans leur jus n’ayant pas été envoyés en maintenance depuis leur stockage. Il ont été reveillés de leur long sommeil et utilisés tels quels. Seules les mousses de protection de la chambre du C330F ont été remplacées, le 500C n’en ayant pas rien n’a été fait. Le pourquoi du test qui n’a aucune valeur scientifique l’échantillonnage étant réduit à l’unité … Pour savoir si ces deux bestioles tiennent bien les outrages du temps, Pour départager leur confort d’utilisation, Pour vérifier si la signature des optiques est visiblement différente. Pourquoi ces deux appareils en particulier ? Il s’agit surtout de comparer deux appareils moyens formats à cadrage carré et optique interchangeable. Il existe plusieurs clones du 500C mais comparer deux designs radicalement différents est beaucoup plus enrichissant sur le plan pratique. De plus c’est ce que j’ai sous la main … Ergonomie 1. Mise au point L’Hasselblad 500C nécessite un recouvrement des mains, l’une pour la mise au point l’autre pour la tenue et le déclenchement. Sur le Mamiya C330F les deux mains sont bien séparées. Et on peut même utiliser la même main pour la mise au point ET le déclenchement si on préfère tout faire d’une seule main. Une affaire de goût mais quand tout est separé on s’emmêle moins les pinceaux. Vert mise au point – Bleu déclenchement Les verres de visées sont vraiment très différents. Outre les saletés dues à l’usage celui de l’Hasselbald 500C est clairement plus orangé, les couleurs sont plus fidèles à travers le verre de visé du Mamiya. En ce qui me concerne la teinte générale du viseur représente une gène à la mise au point car le contraste perçu est affaibli. Sur ces images il peut-être difficile à croire que le verre de visée d’origine du C330F est plus agréable. Pourtant c’est le cas. Les saletées et la teinte de l’écran du milieu sont vraiment désagréables en utilisation portrait. Sur le Mamiya C330F j’ai intallé un verre de visée à droite qui améliore nettement le confort d’utilisation pour les mises au point très décentrées. 2. Transport et rangement Clairement le Mamiya C330F a plus de relief plus de boutons et recoins qui sont autant de points d’accroches. De ce point de vue l’Hasselblad 500C est beaucoup plus sobre et s’accroche un peu moins partout. Ceci étant l’encombrement pur est quasi équivalent. Il est à noter que pour ceux qui collent l’oeil sur le viseur et même les autres d’ailleurs, le Mamiya qui s’étend plus en hauteur qu’en profondeur, rend le geste moins forcé. En effet le viseur est naturellement plus proche de l’oeil lorsque les mains sont à la même hauteur. Losque l’on colle l’oeil sur le viseur avec l’Hasselblad, on est clairement plus ramassé et plus tendu, du moins pour les peronnes de taille normale ~ pour les messieurs photo en début de post. 3. Chargement Dos amovible pour l’Hasselblad 500C et dans le bloc boitier pour le Mamiya C330F. Le dos amovible c’est utile pour changer de film sans avoir à terminer le rouleau, mais il faut transporter des dos supplémentaires, qui sont très encombrants. Cela n’est vraiment utile qu’en studio voir en paysage, mais en mode vadrouille, ou reportage cela n’a pas de réel intérêt autre que la possibilité d’alourdir le sac … 4. Poids Hasselblad 500C + 80mm F/ 1 474 g. Mamiya C330F + 105mm DS F/ 1 810 g. Totalement subjectif à la prise en main le C330F semble clairement plus solide. 5. Bruit Dans ce domaine aucune discussion possible l’absence de miroir reflex dont le Mamiya se passe grâce à son deuxième objectif le rend totalement silencieux en comparaison du CLAP-CLOP de l’Hasselblad lors du déclenchement. Encore une affaire de goût mais la discretion a l’avantage dans bien des situations … Utilisation 1. Impression générale La prise de vue qui a donné lieu au photos ci-dessous n’avait pas pour but ce test mais c’était une bonne occasion. Je n’ai eu le temps que pour un rouleau par appareil pour cette comparaison. Donc les boitiers n’ont pas été utilisés en mode baby sitting … il y avait qu’un très petit crénau dans le timing, il fallait que ça “dépote” … les tours de manivelles étaient … énergiques. Première différence évidente le relatif inconfort de mise au point sur l’Hasselblad par rapport au Mamiya C330F. Le verre de visée du 500C rend la mise au point équivoque en dehors de la zone centrale ou il se défend plutôt bien si ce n’est cette teinte jaunâtre, grrr …. Autant dire que cela ajoute au stress et à la frustration. L’autre chose qui est certainement une question d’habitude et surement de goût c’est la tenue du boitier qui m’a semblée bien plus naturelle sur le Mamiya, où les mains ne sont pas enchevétrées. Second problème aux conséquences désastreuses le déréglage complet de l’avance du film sur l’Hasselblad. Sur le rouleau il ne m’est resté que deux clichés non superposés ! grosse déception ! clairement ce boitier doit passer en maintenance … Sur le Mamiya aucun problème d’avance tous les clichés sont correctement espacés. Bon ok, tout boitier doit passer un jour ou l’autre par la case maintenance. Mais le C330F sorti lui aussi du placard n’a pas fait de caprices … bonne bête, bon point. A vrai dire on entend souvent que les boitiers Hasselblad sont assez coutumiers des passages à l’atelier au point que certains s’en séparent à cause de ces allers-et-retours. Quand on lit ou on entend on se dit toujours boaaff, il a pas eu de bol, c’est tout, il est tombé sur un mauvais exemplaire ». Sauf que quand ça vous tombe sur le nez, c’est 100% pas un coup de mal-bol, mais à 100% un manque de fiabilité du matériel. Surtout quand sorti du placard au même moment, le collègue nippon démarre sur un sprint sans claquage ! Après tout c’est ma faute, je n’aurais pas du faire cet essai. C’est très frustrant, mais c’était l’objectif du test également. Et là je dois dire que c’est la chute d’Icare le boitier dont tout le monde rêve en moyen format. Mais pourquoi ? en dehors de son look assez sexy, bien que le bi-objectif du C330F est bien plus attirant dans le style retro à mon sens … l’image elle seule est-elle à la source de cette popularité ? 2. Photos Bon au niveau de l’image je n’ai pas beaucoup de matière pour comparer les deux dans la mesure ou le 500C m’a littéralement ruiné un rouleau … Faisons avec les moyens du bord Lumière parisienne, ciel couvert, plat de chez désertique, les clichés sans grands intérêts puisque fait pour la comparaison ont été scannés de façon strictement identiques. Si ce n’est que j’ai ajouté 1/3 de diaph. d’exposition au cliché du 500C. Optique moins lumineuse ou vitesses déréglées ? je ne sais pas. Les deux clichés de Tri-X sont à F/4 pour 1/60 s. si ma mémoire est bonne. Vu d’ici en tout petit sur le net, je ne vois pas de différences marquantes si ce n’est un léger plus au niveau du contraste pour le 500C. Idem en plus large, je vous l’épargne, pas de différence frappante. Et vu qu’on fait pas de pixel peeping, pas de peep ! Si cela n’est pas frappant, franchement d’où vient tout ce hype » autour de l’Hasselblad ? Même chose ici, je n’ai pas débouché le pull-over noir bien qu’il y ai toute la matière c’est du scan et traitement simple, brutal. Franchement je donne un autocollant de l’équipe de foot népalaise à celui qui fait la différence. Mais c’est vrai qu’il y a un peu » plus de micro-contraste sur le cliché du Planar de l’Hasselblad que sur celui du Sekor de Mamiya, un peu. Ca fait léger pour comparer, alors j’ai fait quelques autres clichés dont je montre les plus intéressants pour cette comparaison. Et oui l’Hasselblad m’a encore mangé un rouleau en ne me laissant que quelques clichés non superposés. Un petit peu moins certes. Peut-être parce que mes tours de manivelles étaient moins énergiques … Le cliché de l’Hasselblad a été retaillé pour faire correspondre le cadrage à celui du 105MM, j’ai bien des pieds mais pas encore d’ailes … Le Sekor 80mm est revenu chez son propriétaire Alice Santini qui a eut la gentillesse de me le prêter pour ce test et que je remercie très chaleureusement au passage ! Ici encore, même en lumière dure, le quidam n’y voit aucune différence, le photographe maniaco-dépressif y trouvera surement un léger micro contraste supplémentaire sur le cliché du Planar. Je ne dois pas être assez dépressif … Aller une dernière pour la route qui met un peu plus en évidence la légère différence A cause du ciel le Planar a l’air de claquer un peu mieux, il faut l’avouer. Mais les nuages ont bougé entre les deux clichés alors c’est dur d’être définitif. Eliminons le ciel pour plus d’objectivité Je n’ai pas poussé les blancs intentionnellement afin de garder une lecture plus facile. Outre la très légère différence d’exposition, on peut noter un meilleur contraste sur le cliché du Planar à gauche. Afin de savoir si je pouvais obtenir le même résultat, je me suis amusé 2 secondes à rejoindre le rendu du Zeiss à gauche en modifiant celui du Mamiya à droite. Je pense y être parvenu pas trop mal à vous de juger sur le visage du faune, ci-dessous. J’ai juste augmenté le contraste et relevé l’exposition de diaph., pas vraiment une recette diaboliquement complexe … Les deux objectifs ayant une focale différente, sur un même cadrage la compression est différente et le cela se ressent sur le cliché du 105mm qui de fait apparait moins dynamique ». On pourrait bien sûr améliorer le micro-contraste du Mamiya en jouant sur les courbes, mais on a déjà montré qu’on pouvait faire converger les deux rendus, inutile d’enfoncer le clou. Conclusion Compte tenu de l’état du marché et des outils à notre disposition pour pratiquer la photo argentique, l’accessibilité du prix est un critère mais la fiabilité en est un plus épineux encore. La grande majorité des appareils ne sont plus fabriqués, les envoyer dans un atelier spécialisé devient chaque jour plus difficile et plus onéreux à cause de leur disparition. Sur un marché de l’occasion où les prix sont encore très accrochés à la réputation, je ne trouve pas que l’énorme différence de prix double ou triple ! entre Hasselblad 500C et Mamiya C330F soit entièrement justifié, et pour ainsi dire pas du tout. La solidité, la fiabilité et la qualité du rendu des optiques et boitiers Mamiya C330F en font un choix de première classe sur plan qualité/prix, et même au delà sur le plan de l’érgonomie. Mais cela relève du goût de chacun. Quoiqu’il en soit, il est indéniable que le potentiel créatif » d’un vieux boitier Hasselblad dans son jus est supérieur à celui du Mamiya. La preuve avec le photo ci-dessous Sauf que quand j’achète un Hasselblad, au prix de l’Hasselblad, même d’occasion ce n’est pas pour que le boitier soit »créatif » à ma place. Mais bon ce n’est que moi … Un grand merci à François pour le prêt de l’Hasselblad 500C et à Alice pour celui du Mamiya Sekor 80mm ! François, désolé, le placard a été trop dur psychologiquement, le 500C n’a pas tenu. Il faut garder à l’esprit que ce test a été réalisé sur uniquement deux boitiers et de fait ne peut être généralisé. Il existe certainement des Mamiya grippés et de vieux Hasselblad en parfait état de fonctionnement. Ceci n’est bien sûr qu’un témoignage tout empreint de subjectivité.
appareil optique qui fait le tour des choses