je ne supporte plus mon mari qui boit
Tun'as rien à lui expliquer, il doit déjà "comprendre" (surtout si tu as des origines africaines du nord) que tu es musulmane et si cette attirance est mutuelle, ça n'a pas l'air de le déranger. Ta religion n'est pas une tare et tu n'as rien à
1 Premièrement, si vous êtes victime de violence conjugale, vous devez commencer par prendre pleinement conscience de la situation.. Prendre conscience que vous n’êtes pas responsable des actes violents de votre partenaire (ou ex-partenaire).; Prendre conscience que votre vie, votre santé et votre bonheur (ainsi que ceux de vos enfants) sont en
Jepratiquais encore l’automutilation. Lors de nos grosses disputes, pour ne pas m'en prendre à lui, je m'enfermais, prenais ce qui me venait entre les mains et me
Jene veux pas que mon mari regarde une autre femme, et je ne le supporte pas. J'ai rééllement horreur de ça. Il ne les regarde pas, il les reluque complètement des pieds à la tête, en
Lasolution la plus confortable c'est de prendre soin de toi car tu te trouves dans une situation qu'on peut nommer de " co-dépendance ", c'est-à-dire que tu souffres autant que ton conjoint.
Rencontre Femme Badoo Digne Les Bains. Aujourd’hui, je laisse la parole à une maman d’une tribu XXL, assistante familiale ou famille d’accueil. Elle a elle-même été accueillie dans la famille de la nounou en or qui me gardait étant petite… et qui a transmis le virus à ses enfants! Cette maman est mariée avec le fils de ma nounou en or… bref, être assistant familial, c’est une histoire et un héritage familial! Si ce métier est l’un des plus beaux, je ne vais pas vous livrer un récit idyllique de la famille d’accueil… Non. C’est un récit dur, qui m’a bouleversé… On imagine tous que ce métier est difficile, que rien n’est tout rose… mais quand ça tourne au cauchemars? Quand ce métier qu’on choisit et qu’on exerce avec son coeur détruit sa propre famille ? Je vous laisse découvrir son histoire, leur histoire… qui restera en anonyme, vous comprendrez vite pourquoi *** Bonjour Christelle, peux tu te présenter, nous en dire un peu plus sur toi, sur ta famille? Je suis assistante familiale depuis presque 8 ans. J’ai 6 enfants, bientôt 7… 5 garçons et une fille 18 ans, 17 ans, 15 ans, 12 ans, 9 ans, 8 ans Qu’est-ce qui t’a donné envie de devenir assistante familiale? J’ai cette envie depuis que j’ai l’âge de 15 /16 ans . J’ai vécu moi-même en famille d’accueil de 13 à 18 ans. Quelles sont les démarches pour obtenir l’agrément d’assistant familial? Est-ce long? Il faut quatre mois à partir de la réception de votre dossier. Il faut en faire la demande auprès du Conseil Général, ensuite il y aura la visite d’une assistante sociale, d’une éducatrice et voir même d’une puéricultrice. Mais il ne suffit pas d’obtenir l’agrément, il faut se faire recruter par un service d’accueil familial. On nous fournit la liste avec l’agrément. Et ce sont eux qui viennent chez vous à leur tour pour faire la visite de la maison etc. Un peu comme pour l’obtention de l’agrément. Ensuite, il y a une visite chez le psychologue du service et un rendez vous avec la direction. Ensuite, votre employeur vous fera faire une formation obligatoire de 60h, qui sera suivie d’une seconde formation de 240h avec possibilité de passer un diplôme d’état. Comment préparer son conjoint et surtout ses enfants à ce choix professionnel? Mon conjoint connaissait déjà ce métier car sa maman l’exerce depuis qu’il a 6 ans. Mes enfants étaient d’accord sauf un, donc j’ai rempli les papiers et je lui ai dit que je l’enverrais lorsqu’il serait d’accord. A force de discussions, il a accepté. Il connaissait aussi ce métier par mamie. A quelles difficultés es-tu confrontée au quotidien? N’est-ce pas parfois difficile de conserver l’harmonie familiale? Qu’est-ce qui est le plus dur pour toi, pour vous? Pour le premier accueil tout s’est super bien passé. Nous avons accueillis une petite fille de 4 mois et demi, les garçons étaient ravis, elle s’est très bien adaptée. La grosse difficulté, c’était la situation de cette petite fille adorable, pas de visite du tout, abandon de la maman pas de papa. Il faut s’attacher mais pas trop car ce n’est pas votre enfant et quand c’est un bébé et qu’il n’a aucun lien avec ses parents… dur dur… Finalement, elle est devenue adoptable à l’âge de 3 ans et nous avons pu l’adopter avec une grande joie pour toute la famille ! Pour le deuxième accueil, un petit garçon de 4 ans… du même âge que mon dernier garçon à ce moment là. Il a du quitter sa famille d’accueil en urgence sur décision du juge des enfants car sa maman avait déjà rapté deux enfants de la fratrie dans les familles d’accueils. Il a très mal vécu la séparation… il a bien mis deux ans à s’adapter et c’est le temps qu’il avait mis pour s’adapter dans sa première famille . Nous avons eu le droit à des pipis culotte, selles, inondation du lit malgré la couche… Il a aussi cassé énormément de jouets de mes enfants. Il était vraiment perturbé et quand nous partions en vacances tout cela empirait… Il était content de partir avec nous mais le changement de lieu de vie le déstabilisait. Heureusement, avec le temps ça s’est calmé. Mais c’est resté un enfant plus ou moins difficile à la maison comme a l’école ou en colo. Ensuite, c’est mon mari qui est devenu à son tour assistant familial, nous avons accueilli la petite soeur du garçon, une petite fille de deux ans super et ça a fait un grand bien à son frère, il était vraiment heureux! Nous avons aussi fait beaucoup de relais accueillir des enfants qui sont placés chez des collègues qui partent en vacances sans eux ou pour des weekends. Il y a eu vraiment de belles rencontres des jeunes supers! A cette période de notre vie nous étions très heureux et contents de notre choix de vie. Passons au plus dur … Mon mari a obtenu un deuxième agrément. Un jeune mineur isolé qui avait soit disant 10 ans… par la suite nous avons appris qu’il avait en réalité 14 ans… Il était en France depuis un an et était passé par un foyer à son arrivée. Nous étions la troisième famille, il avait épuisé les deux autres… Il ne devait rester que le temps de lui trouver un foyer. Finalement, après un temps d’adaptation où il a essayé de faire sa loi… Pour lui les plus petits et les femmes ne sont rien et il peut crier ou donner des ordres sans soucis !… Il ne s’est pas si mal adapté à notre famille. Il était très serviable, sympathique et nos employeurs étaient très surpris de ce changement radical. Il était devenu très souriant, agréable … bref ! Ils ont décidé qu’il ne partirait pas en foyer puisque tout allait bien. Puis au bout de 6 mois le cauchemar a commencé… Une petite fille qui était venue en relais 18 mois auparavant, a accusé un de nos 5 garçons de lui avoir demandé de lui sucer la quéquette contre une sucette », donc convocation au service de signalement et interrogatoire des quatre enfants accueillis… Cette histoire sera finalement classée sans suite. Il y a eu trois versions de la jeune auprès des gendarmes et nos garçons n’avaient rien fait ! Sauf que le jour où les enfants accueillis ont été interrogés, le jeune mineur isolé a pris peur et a cru que c’était pour lui. Il a avoué au psychologue du service qu’il violait notre fille de 6 ans régulièrement la nuit… Nous, on nous a dit qu’il partait, que nous devions parler avec notre petite… qu’il s’était passé des choses mais quoi ? Pas de réponses… secret professionnel! Après enquête, audition de notre fille, examens médicaux et les aveux complets du jeune, qui lui pensait n’avoir rien fait de mal puisqu’il était amoureux, nous avons su… S’en est suivi le retrait des trois autres enfants dont une de trois ans en cours d’adoption on nous avait demandé de nous prononcer pour sa future adoption et nous étions encore une fois d’accord. Retrait également des agréments. Après trois mois, nous les avons récupéré devant une commission qui nous a donné raison! Mais, on ne nous confie toujours pas d’accueils, notre employeur nous accuse d’un manque de vigilance car nous n’avions rien vu rien entendu… mais c’était au milieu de la nuit! L’avocat est outré ainsi que les gendarmes et les membres de la force ouvrière… En me renseignant auprès des collègues, j’ai appris que la première famille avait eu des soucis avec l’école. Plus aucune petite fille ne voulait y aller car ce mineur isolé leur touchait les fesses et les seins! Selon eux c’est un problème de culture… J’apprend aussi que cette collègue a été licenciée, et qu’il y avait eu aussi des soucis dans son foyer a son arrivée en France! Personne ne nous avait rien dit !! Quelles sont les conséquences d’une telle situation ? Quand il y a suppression de l’agrément cela dure maximum 4 mois avant de passer en commission et le salaire est d’environ 200€ apparemment il est rare de retrouver son agrément après une suppression et si l’assistant familial retrouve son agrément il passera en indemnité d’attente, soit environ 400€ pendant maximum 4 mois… Ensuite soit l’employeur vous licencie ou vous redonne un accueil ou bien comme pour nous pas d’accueil ,pas de licenciement mais nous retouchons nos salaires , en attendant la fin de la procédure ou un licenciement… Nous vivons cette situation depuis 19 mois n’avons plus le droit de voir les enfants accueillis ,ni le droit de téléphoner nous envoyons des cartes pour les anniversaires mais doutons très fortement que les enfants ait leur courrier car nous devons passer par le service . Nos enfants souffrent énormément de cette situation et de cette séparation et nous aussi. Nous essayons de nous reconstruire mais notre vie est entre parenthèse c’est difficile… As-tu quelque chose à ajouter ? J’ai répondu à cette interview non pour dégoûter de ce métier ou faire peur, mais pour mettre en garde. Mes beaux-parents et quatre de mes beaux-frères et belles-soeurs exercent le même métier et ne rencontrent pas les mêmes choses et heureusement! Mais si notre histoire peut mettre en garde au moins ce sera déjà ça. Il faut savoir que sur la parole d’un enfant nous, nos maris, nos enfants peuvent se retrouver auditionnés par les gendarmes ou voir mis en garde à vue alors qu’ils sont innocents… Mon fils de 11 ans n’a pas bien vécu cette situation, lui qui rêvait d’être gendarme ou policier s’est retrouvé accusé et auditionné. C’est très impressionnant pour un enfant et d’être accusé comme ça il n’a pas compris et ça l’a dégoûté, il ne veut plus être gendarme ou autre… Si vous pouviez revenir en arrière quels seraient vos choix? Si nous pouvions retourner en arrière mon mari et moi resterions sur notre position de départ car nous avions demandé à accueillir une petite fille afin de n’avoir un étage qu’avec des filles mais ils nous ont proposé ce jeune… J’aimais vraiment ce métier et il y a beaucoup de jeunes très biens et qui se comportent très bien en famille. La famille d’accueil est une chance pour se reconstruire et avoir le modéle d’une famille qui fonctionne bien pour ensuite pouvoir se reconstruire et avoir un jour une famille à soi . Nous gardons espoir et espérons qu’il y aura une fin heureuse et espérons que ce n’est qu’un mauvais passage de notre vie. Ce bébé qui va bientôt arriver a été conçu pour panser nos coeurs et nous redonner un peu de joie de vivre et de bonheur, mais jamais il ne remplacera cette adorable petite fille que nous devions adopter. Si elle ne revient pas nos coeurs en garderont la cicatrice à vie… » Merci pour ce témoignage bouleversant <3 À propos Articles récents Maman multi-casquettes, un brin écolo et pratiquant l'instruction en famille. Résolument optimiste, j'espère vous transmettre ma bonne humeur et ma douceur! Pour en savoir plus sur moi c'est par ici !
Je vois que tu es sur Paris, à partir de septembre je vais y aller tous les jours. Dans quel quartier es - tu? Je pourrais te la sortir, ou je ne sais pas, sur Paris il y a plein d'etudiants et d'assoc qui proposent ce genre de services, pour des sommes dérisoires... Il y a des solutions, déja effectivement le Kennel, un diffuseur DAP, des jouets type Kong avec de la bouffe dedans, laisser la télé allumée.... Maintenant, le 7h c'est trop long moi je veux bien, mais enfin il y a des milliers de chiens qui restent plus longtemps. Quand je suis a l'ecole, dafy est quelques fois restée 9h voire 10h seule, et ce depuis ses 3 mois, heureusement pas tous les jours, mais elle ne me détruit rien, et se retient bien. Une fois, a cause des grèves de trains, elle est même restée 16 h seule, pas un pipi, pas un caca.... Et pourtant je m'attendais au pire!!!! Je pense qu'il y a le caractère du chien, mais aussi l'éducation. Je n'ai rien laissé passer dès le début. Mais bon, il faut bien travailler, tout de même, il n'y a pas que les chomeurs et les retraités qui peuvent avoir un chien, et tout le monde n'habite malheureusement pas à côté de son travail pour rentrer le midi!!!!!!!!!!!!! Donc comme disent les copains, le kennel me semble la meilleure solution, déja pour éviter un accident. Après comme le dit Cookaî, un chiot, c'est la loterie, ange ou démon...... Dafy est un ange, mais avant son arrivée je n'en savais rien, j'avais même accumulé des kilos de papier journal des 20 minutes piqués par piles entières dans le métro lol, et j'avais changé la disposition des meubles pour planquer tous les cables et ne rien laisser à sa portée. Bon heureusement pour moi ça n'a servi à rien, son seul dégat a été une malheureuse plinthe légèrement grignotée. C'est ça un chiot.. En plus nos boubous on de véritables mâchoires d'acier, pas grand chose ne leur résiste.... twisted Ton copain devrait essayer de comprendre, ce chien il l'a voulu autant que toi, non??? Alors s'il en arrive à "c'est le chien ou moi", ben c'est que c'est un c*o*n et moi je n'hesiterais pas à dire "le chien"
© BELGAIMAGE - HATIM KAGHAT Ils sont allemands, espagnols, néerlandais, portugais ou encore français, mais sont tous réunis sous la bannière jaune et bleu. Rencontre avec des supporters de l’Union qui n’étaient pas destinés à le devenir. C’est jour de match à Bruxelles. À Saint-Gilles, les écharpes jaune et bleu sont arborées avec fierté. L’Union ne s’est plus aussi bien portée sportivement depuis des lustres. En descendant vers Forest et le stade Marien, la foule grossit à mesure qu’on s’approche. Les gobelets de bière se vident et les conversations tournent forcément autour de l’équipe locale. En français majoritairement, mais aussi en néerlandais, en anglais et… en danois. Jakob et Kristoffer sont actuellement en stage à Bruxelles et ce dernier est pote avec Jonas Bager, défenseur danois de l’équipe de Felice Mazzù. Accompagnés de leurs potes Emile et Casper, en visite pour le week-end, ils s’apprêtent à redécouvrir l’ambiance du Parc Duden. © BELGAIMAGE – HATIM KAGHAT À l’image du noyau unioniste, mais aussi de la ville de Bruxelles, les tribunes saint-gilloises comptent de nombreuses nationalités différentes. À tel point qu’un fan club récemment créé est désormais dédié aux fans expats Be Union. Rencontre avec quelques-uns de leurs membres. Ana Notre groupe compte plus de dix nationalités différentes » Je suis portugaise, j’habite déjà depuis plus de dix ans à Bruxelles, je travaille à la Commission européenne. Au pays, je suis supportrice du FC Porto. C’est pour ça que des amis insistaient pour que je les accompagne à l’Union. Ils me disaient que je devais me trouver un club ici mais moi, l’Union en deuxième division, ça ne me disait trop rien a priori. Finalement, j’ai accepté et je suis allée voir le match contre le Standard en PO2 en 2017, au Heysel. En termes de foot, c’était assez horrible. Mais j’ai aimé le fait que malgré qu’ils n’aient pas gagné 2-2, tout le monde faisait la fête. Je trouvais ça étonnant. C’est très différent de Porto où il y a toujours beaucoup de pression. Là-bas, si tu as gagné mais que tu as mal joué, où que tu n’as gagné que de justesse, les supporters peuvent être mécontents et le manifester. Ici, c’est toujours la fête. Ana© BELGAIMAGE – HATIM KAGHAT Je suis abonnée depuis la saison 2019-2020 et désormais l’Union fait partie de mon programme social ». Il y a beaucoup d’avantages après les matches, on sort ensemble avec les potes, c’est près de chez moi, il n’y a pas de violence, il y a beaucoup d’enfants. J’aime aussi beaucoup la proximité entre les joueurs et les supporters. Après chaque match, ils viennent nous remercier. Avec d’autres expats comme Friedrich et Vlada voir plus loin, on s’est dit que ce serait cool de créer un fan club pour les étrangers, qu’il fallait quelque chose d’international. Et c’est comme ça que Be Union est né au début de cette saison. On compte une centaine de membres. On a beaucoup de soutien du club parce que je crois qu’ils ont compris qu’il y avait cette niche de supporters, qui ne parlent pas forcément français, qui ne sont pas forcément hyper intégrés dans la vie à Bruxelles et que c’est plus facile d’avoir un groupe pour eux. On a organisé notre propre bus pour la première fois pour le déplacement au Standard en avril. Avant, on les faisait avec les Bhoys. On a compté dix nationalités différentes. Et ça, pour moi, c’est à l’image de Bruxelles. D’ailleurs, je me sens toujours bienvenue en tant qu’étrangère. Bon, moi je parle le français, mais même pour ceux qui ne le parlent pas du tout, ça se passe très bien. La progression du club est phénoménale, mais j’ai aussi un peu peur que l’essence disparaisse. Cette saison, on voit qu’il y a beaucoup de gens qui viennent et qui ne comprennent pas ce qu’est l’Union ou même ce qu’est vraiment le foot. J’ai un peu peur que ça devienne la règle et plus l’exception, que l’essence populaire se perde. J’espère que non, mais c’est toujours un risque quand un club grandit et qu’il change de stade comme ça devrait être le cas bientôt. Il n’est pas impossible que l’Union affronte Porto en Coupe d’Europe la saison prochaine, mais je supporterai Porto. C’est le coeur qui parle! On ne peut pas changer ça. Je crois au titre, on a assez de qualités pour remporter les play-offs. Après le concept est un peu bizarre à mes yeux. Ma grand-mère m’a appelée récemment et elle me demandait Alors, vous êtes champions? » J’ai dû lui expliquer que non, pas encore. Mais bon, c’était encore pire en D1B j’ai quasiment mis toute la saison pour comprendre comment ça fonctionnait. » Friedrich On voit l’Union partout » Je suis allemand et j’habite à Bruxelles depuis 2015, j’y suis lobbyiste. J’ai toujours aimé le foot et je suis supporter de l’Eintracht Francfort. Je me souviens parfaitement de mon premier match de l’Union, même si j’ai oublié qui était l’adversaire. J’y suis allé avec un ami du travail qui supportait déjà le club depuis un petit temps et j’ai trouvé ça très cool donc je suis revenu. Ce qui rend l’Union très spéciale, c’est l’atmosphère qui s’en dégage. Depuis le début, les fans ont toujours été très cools, on se sent bienvenus, on boit des bières… Bien sûr, l’aspect sportif est important, mais c’est aussi très fun d’être là. Surtout dans notre stade c’est un peu comme un Fan Day dans le parc à chaque rencontre. Friedrich© BELGAIMAGE – HATIM KAGHAT Le premier match véritablement mémorable pour moi, c’est celui contre l’Antwerp en 2016. C’était décisif pour assurer le top 8 et se maintenir dans ce qui allait devenir la D1B. C’était un match dingue et je me souviens être resté très tard au Club House. Anthony Sadin, le gardien de l’époque, a débarqué avec des pizzas. C’était extraordinaire. Là, je viens d’avoir un enfant donc je vais un peu moins au stade pour le moment, mais habituellement j’assiste à tous les matches à domicile. Pour l’instant, on alterne avec ma femme une fois c’est elle qui va au match, la fois suivante, c’est moi. Ce que fait le club actuellement, je ne l’aurais jamais imaginé. Il y a quelques saisons, il y avait un joueur dont je ne me souviens plus du nom qui était allé faire un test à Energie Cottbus, qui était alors en D3 ou D4 allemande. Je trouvais que c’était déjà quelque chose. Puis, on a eu les Allemands Max Besuschkow et Marcel Mehlem et je me disais Pourquoi ils sont là? ». Mais maintenant, l’Union c’est autre chose. Si on joue contre une équipe allemande en Coupe d’Europe, ce sera très excitant. Toute ma vie, j’ai été supporter de Francfort si l’Union l’affrontait, ce serait fou. Je crois que je devrais m’acheter un maillot des deux équipes et en faire un moitié-moitié! Mais j’irais voir le match côté Union! J’ai même changé à Fifa, j’ai remplacé l’Eintracht par l’Union comme équipe favorite. Ce qui est cool, c’est que c’est toujours à peu près l’équipe de la saison passée, avec juste quelques ajustements. L’Union mise sur des joueurs qui ont un certain potentiel de développement cette philosophie sportive est bonne à mon sens. Bon, je ne m’attends pas à ce qu’ils jouent le titre chaque saison. Ce qu’ils ont fait cette année, c’est déjà extraordinaire, mais ils ont en tout cas le potentiel pour s’installer en D1A. Et les gens ne s’y trompent pas quand j’ai commencé à aller au stade, même certains qui vivaient à Bruxelles ne connaissaient pas l’Union. Maintenant, on voit l’Union partout. Tout à l’heure, je buvais une bière avec des amis dans le quartier européen et j’avais mon écharpe. Même là, les gens s’arrêtent et crient Allez l’Union » et se mettent à discuter. J’espère que ça va continuer comme ça. » Vlada On a tellement aimé le quartier qu’on y a acheté une maison! » Je suis originaire de Lettonie, mais j’ai grandi aux Pays-Bas. Je travaille au Parlement européen, en tant qu’assistante parlementaire. En fait, je viens d’une famille plutôt fan de moto. Chez moi on regarde du Moto GP, pas vraiment de football. Je suis arrivée à Bruxelles en 2015. Je commençais juste à fréquenter celui qui est désormais mon mari, Friedrich, et il m’a emmené à un match de l’Union. C’était au Heysel et le niveau de jeu n’était vraiment pas terrible. Malgré tout, c’était mon tout premier match dans un stade et j’ai directement accroché je suis allée à tous les matches par la suite. Les chants, la bière je n’avais jamais expérimenté un truc comme ça. Puis, on s’est fait de plus en plus d’amis et c’est devenu un truc qu’on fait tous ensemble. Je me suis toujours sentie acceptée en tant qu’étrangère. Je crois que pour nous, c’est aussi une façon de s’intégrer en tant qu’expats. Parce qu’il est aussi tout fait possible de rester uniquement au sein de la bulle européenne. Ici, c’est un moyen de rencontrer des personnes différentes, d’être partie prenante de la vie locale en suivant un club local et ne pas être déconnectée du reste de la ville. C’est important pour moi. D’autant plus maintenant que j’ai un fils. Je veux qu’il soit intégré ici, qu’il ait des amis d’ici. J’ai hâte de l’amener à son premier match mais bon, il va falloir encore patienter un peu, il n’a que quatre mois et demi! Vlada© BELGAIMAGE – HATIM KAGHAT L’histoire de mon premier match au Stade Marien est particulière. On y est allé à pied avec mon mari et on a tellement aimé le quartier qu’on y a acheté une maison! elle rit Quand j’étais enceinte, je suis allée à tous les matches jusqu’à ma 36e semaine de grossesse. Et toujours en tribune debout. C’est un peu fou, mais si on se met un peu sur le côté, c’est bon, c’est safe. À cette époque, j’ai également emmené ma mère au stade. Elle avait peur d’un peu s’ennuyer mais c’était contre Seraing, quand Kaoru Mitoma a inscrit un hat-trick en deuxième mi-temps. À la fin du match, elle hurlait comme une dingue elle a adoré! » Je viens de Séville, en Espagne. J’habite Bruxelles depuis 2015. Avant ça, j’ai vécu à Berlin et à Anvers, mais je me suis installé ici par amour, pour rejoindre ma femme que j’avais rencontrée à Louvain. J’aime Bruxelles, je suis d’ailleurs député au Parlement bruxellois Groen! Mon premier match à l’Union remonte à 2016, contre le Lierse au Heysel. L’ami qui devait m’accompagner ne pouvait plus venir donc j’y suis allé seul. C’est comme ça que j’ai rencontré Friedrich et bien d’autres. À l’Union, tu ne restes pas dans ton coin, tu te mélanges. S’y faire des potes est facile. J’ai vite compris qu’on n’était pas là juste pour le football, le résultat, les buteurs, mais aussi pour chanter, boire, rigoler. Juan© BELGAIMAGE – HATIM KAGHAT Une des choses que j’aime à l’Union et qui me rappelle le Betis dont je suis supporter, c’est que quand on encaisse, on chante encore plus fort. On dit Viva el Betis manque pierda » qui signifie Vive le Betis même quand il perd ». J’ai retrouvé ça ici et je pense que c’est assez unique en Belgique. J’aime également le fait qu’on n’insulte jamais l’adversaire et que ce soit une valeur qui perdure. Si certains s’y risquent, ils sont rapidement rappelés à l’ordre par les anciens. Dans le groupe Be Union, c’est très divers, il y a plein de nationalités. Mais ce n’est pas non plus juste des Eurocrates qui n’ont rien à voir avec la ville. Ce sont des gens qui ont choisi de s’installer à Bruxelles, qui organisent des choses avec d’autres fan clubs, qui ont des liens avec d’autres initiatives locales. Ce n’est pas juste un truc d’expats qui s’en fichent de la ville. Ils sont Bruxellois aussi même s’ils viennent d’Allemagne, du Portugal ou de je ne sais où. C’est comme ça que je le ressens aussi. Je suis espagnol, mais aussi bruxellois. Un de mes meilleurs souvenirs de l’Union remonte à 2018 et à un déplacement à Tubize pour éviter la relégation. Avec un petit groupe, on y est allés à vélo. Adrien Saussez a arrêté un penalty à la dernière minute, ce qui nous assurait du maintien. Au retour au Club House, tous les joueurs étaient là avec le coach et le président de l’époque, Jürgen Baatzsch. J’ai discuté avec lui et il m’a dit J’ai vendu le club à un Anglais. » Je pense qu’il était un peu bourré! J’avais un pote journaliste avec moi et je lui ai donc répété. Pendant une semaine, il a essayé de faire confirmer cette histoire, mais Baatzsch niait parce que ce n’était pas encore tout à fait réglé! C’est un tournant dans l’histoire du club même si je pense que le changement n’a pas été trop radical. La principale différence, c’est que maintenant on vise plus haut. Ça arrive même sans doute trop vite je ne pense pas que les dirigeants s’attendaient à ce que ça marche aussi bien. Moi, je crois au titre depuis qu’on a pris la tête du championnat à la onzième journée. Les gens me disaient que j’étais fou, mais je trouve qu’on doit être ouvert à être déçu. C’est la magie du football. Moi en tant qu’Espagnol, je pensais toujours que l’Espagne allait être championne. Longtemps ça n’a pas marché et puis finalement on l’a été trois fois de suite avec les deux EUROS et la Coupe du monde. C’est pareil pour l’Union. Si on est deuxièmes, troisièmes ou quatrièmes, on va pleurer un petit peu, mais si on est champions ce sera génial d’y avoir cru depuis le début. De toute façon, on aime l’Union même quand elle perd. Comme le Betis. » © BELGAIMAGE – HATIM KAGHAT L’Union fait vraiment partie de la vie de quartier » Jérémy n’est pas membre de Be Union. Mais comme un grand nombre de ses compatriotes français, il s’est installé à Saint-Gilles puis Forest. Et est rapidement tombé amoureux de l’Union. Je suis originaire de Saumur près d’Angers. Avec ma femme, on s’est installés à Bruxelles il y a douze ans. Avant ça, on a passé deux ans à Londres, mais je voulais vivre dans une ville moins grande, moins rapide. Une fois arrivé, il ne s’est passé que trois mois avant que je ne voie mon premier match à l’Union. Je bossais pour le Café des Spores, qui a un emplacement sur le marché de la Place Van Meenen de Saint-Gilles. Un de mes collègues était un vrai supporter de l’Union depuis des années donc quand on a commencé à parler ballon, il m’a dit qu’il fallait absolument que je vienne. C’était encore la D3 et il n’y avait pas grand-monde, mais je suis tombé sur un chouette groupe d’anciens. Comme je suis cuisinier, j’ai très vite proposé mes services pour faire des repas à l’Union, dans le Club House. Pendant deux ou trois ans, les jours de match à domicile, je proposais un menu entrée-plat-dessert à environ vingt euros pour entre vingt et quarante personnes par rencontre. Ce que j’apprécie, c’est le côté bon enfant de l’Union. Le côté antifasciste aussi qui ressort très fort chez les supporters. Et puis, je n’aime pas trop les grosses écuries. Je n’ai jamais été fan du Real, de Manchester City ou du Bayern. J’ai toujours supporté des petits clubs. En France, c’est Angers et Sochaux. Donc je me sentais bien dans mes bottes à l’Union, qui en plus est tout près de chez moi. En douze ans, j’ai déménagé plusieurs fois, mais toujours à Saint-Gilles ou Forest. Les jours de match, on a des potes qui viennent au stade à vélo. On en gare cinq ou six dans la maison et les gens viennent prendre l’apéro. L’Union fait vraiment partie de la vie de quartier. Quand tu vas à l’épicerie le lundi matin faire tes courses, tu parles de foot avec les commerçants ou les voisins. Toute la famille en est d’ailleurs mon fils aîné, Alexandre, huit ans et demi, est abonné et a fait tous les matches à domicile, sauf quand c’était un peu trop tard le soir. Le plus petit, Gabriel, bientôt cinq ans, a vu trois matches et ma femme est également venue deux fois cette saison. Le passage actuel vers plus de professionnalisme, je l’accueille avec plaisir. C’est le rêve de tout supporter de se dire que son petit club arrive à faire des performances comme ça. Je n’ai pas l’impression qu’ils soient en train de se trahir dans l’état d’esprit non plus. Ça avance petit à petit, mais il y a toujours ce côté un peu bancal, un peu désorganisé. Et puis, c’est la première fois que je supporte un club qui est en tête du championnat. J’ai vécu le match où on a failli descendre en D4 et là, on est en tête de la D1A, c’est une belle histoire! J’en comprends parfaitement la nécessité, mais le fait de déménager dans un nouveau stade va sans doute enlever un certain charme à l’Union. Je continuerai toutefois à y aller. Cela dit, je vais ouvrir un bistrot à deux pas du Stade Marien cet été, donc s’ils peuvent encore rester trois ou quatre ans, ce serait cool! Et je compte bien évidemment y diffuser tous les matches de l’Union, à domicile comme à l’extérieur! »
Depositphotos Si vous buvez souvent de l’alcool, vous devriez lire cet article J’aurais aimé apprendre les informations suivantes il y a plusieurs années, ou du moins devenir plus conscient. Beaucoup de gens ignorent à quel point l’alcool peut être nocif pour notre santé. J’ai été choqué d’apprendre qu’il était considéré comme cancérigène et très surpris de découvrir que la consommation régulière inhibait la capacité naturelle du corps à produire des vitamines essentielles. Considérer l’alcool comme un anti-dépresseur, cette information montre clairement à quel point il peut avoir un impact négatif à la fois sur le mental et la santé physique, conduisant souvent à un cercle vicieux de l’auto-médication. Jetons un coup d’ oeil à certains des effets négatifs à long terme de l’alcool sur le corps. L’alcool est un cancérogène connu De nombreuses études mettent en corrélation la consommation d’alcool et le développement du cancer, reliant à la consommation régulière d’alcool pour les types de cancers suivants cancer du cerveau et de la gorge, cancer de l’œsophage, cancer du foie, cancer du sein, cancer colorectal, et plus encore. Sur la base des examens approfondis des études de recherche, il existe un fort consensus scientifique d’une association entre la consommation d’alcool et de plusieurs types de cancer. » National Cancer Institute Diminution de la production de vitamine B12. Des études ont montré que la consommation d’ alcool compromet vos niveaux de vitamine B12; si vous êtes déjà ou devenez déficient en cette vitamine essentielle, votre santé peut en souffrir grandement. Des études ont également conclu qu’une consommation régulière ou même modérée d’alcool peut avoir un impact sur vos niveaux de vitamines B12. L’alcool diminue l’absorption de la vitamine D et du calcium Il interfère avec le pancréas et sa capacité à absorber le calcium et la vitamine D et affecte également le foie, ce qui est important pour l’ activation de la vitamine D, qui est nécessaire pour l’ absorption du calcium. Cela peut conduire à des difficultés avec la régénération osseuse. Les Dommages du foie Cirrhose La cirrhose est une maladie résultant d’une atteinte hépatique permanente ou du développement de cicatrices dans le foie, et si un certain nombre de choses peuvent la provoquer , une cause commune est l’abus d’alcool . La cirrhose du foie peut être très grave, voire mortelle, et souvent le seul moyen de l’inverser est la chirurgie. Dépresseur L’alcool est un bon anti-dépresseur, malheureusement, dès que les effets sont envolés il y a un rebond des symptômes d’angoisse et de dépression, donc pour palier au retour de ces symptômes on boit de nouveau, de plus en plus et les rebonds se représentent ainsi de plus en plus et de plus en plus forts, l’alcool est un anti-dépresseur qui abaisse les niveaux de sérotonine dans le cerveau. Beaucoup de gens se tournent vers l’alcool pour soulager la dépression, mais beaucoup la développent à cause de l’alcool, c’est pourquoi cela peut devenir un cycle très vicieux pour certaines personnes. Perte de mémoire La consommation d’alcool ralentit les processus dans le cerveau, ce qui entraîne souvent une perte de mémoire. La consommation excessive d’alcool, d’ailleurs, peut entraîner des complets black-out », vous amenant à oublier où vous étiez, ce que vous avez fait, et même ce que l’on vous a fait. Au fil du temps, cela peut rendre difficile de se souvenir des événements qui se produisent alors même que l’on est sobre. Qu’est-ce qui arrive au corps tout de suite et surtout le jour suivant? Boire irrite l’estomac et les intestins , ce qui provoque une inflammation des muqueuses de l’estomac. Vous devenez déshydraté, la consommation de 50 g d’alcool dans 250 millilitres ml d’eau soit environ 4 boissons provoque l’élimination de 600 à 1000 ml ou jusqu’à 1 pinte d’eau pendant plusieurs heures. L’ alcool inhibe la production de glutamate , le glutamate est un stimulant dont le travail consiste à nous tenir éveillés. Cependant, lorsque notre taux d’alcool sanguin atteint zéro c. -à- temps de la gueule de bois, notre corps réagit en surproduisant ce stimulant, qui se traduit par un mauvais sommeil. Selon cette recherche, une explication possible de la gueule de bois induite par l’ alcool est que l’ alcool a des effets sur les neurotransmetteurs, l’histamine, la sérotonine et la prostaglandine. Comment savoir lorsque c’est trop? Depositphotos Selon le Centre canadien de toxicomanie et de santé mentale, les femmes ne devraient pas boire plus de 10 verres par semaine et pas plus de 2 verres par jour. Les hommes ne devraient pas boire plus de 10 verres par semaine, et pas plus de 2 verres dans une seule journée. Et vous n’êtes pas censé boire tous les jours de la semaine . Je ne sais pas pour vous, mais un jour où je sors et que j’ai l’ intention de boire , il est très rare que je consomme que 2 boissons. Quelques réflexions personnelles sur la question Apprendre les réelles conséquences néfastes de l’alcool sur la santé a fait résonner en moi les raisons de sa forte présence dans les médias.. Il est rare de voir une émission de télévision ou un film où les personnages ne consomment pas régulièrement de grandes quantités d’alcool, et ces deux personnages ou ceux dans les publicités d’alcool sont dépeints, à des degrés divers, aussi sexy, cool, spontanés, et amusants. En fait la promotion de l’ alcool dans le mercantilisme grand public a rapporté avoir dépensé 8 milliards sur la publicité entre 2002-2009. Même si la connaissance des dangers de l’ alcool est loin d’être aussi commune que le tabac, pourquoi n’en parle t-on pas plus? On dit que le sucre est le tabac du 21 e siècle, mais il semble que la vérité sur les dangers de l’ alcool soient largement ignorés. Même de nombreux blogs de santé alternatifs populaires ne semblent pas accorder trop d’ attention à l’idée. Est – ce parce que beaucoup de gens aiment l’ alcool et la façon dont il les fait se sentir et préfèrent fermer les yeux? Ou y a – il un intérêt à garder ces informations au calme? Sans être totalement négatif, tout cela me fait penser à George Orwell 1984 et comment les personnages privés de l’histoire ont tout simplement pris l’ alcool comme un moyen de les garder heureux et d’échapper à leur existence misérable. S’il vous plaît ne vous méprenez pas – j’aime autant l’alcool que les autres, voire plus, car cela peut être un excellent moyen de se lâcher, d’avoir du plaisir, ou même tout simplement se détendre, mais cette information m’a vraiment fait réfléchir dernièrement. Surtout après ne pas avoir bu du tout en Février, j’ai réalisé à quel point je me sentais mieux de jour en jour et ce que je pouvais accomplir, je pense que c’est quelque chose dont nous pourrions tous bénéficier. Qu’en pensez-vous? Si vous êtes quelqu’un qui aime un verre occasionnel de vin ou une bière, vous pouvez très bien ne pas comprendre cet article. Il est probable que si vous vivez un style de vie en bonne santé, ces effets négatifs n’auront pas beaucoup d’impact sur vous. Mais si vous êtes quelqu’un qui boit régulièrement, ou qui utilise l’alcool comme une évasion, cette information est vraiment utile. Pourquoi ne pas faire une pause avec l’alcool et voir si votre humeur s’améliore? Si vous trouvez que vous utilisez l’alcool comme un moyen de faire face au stress, envisagez une alternative, comme la course ou la marche, passez quelques minutes dans le sauna, ou même méditez. Essayez de faire quelque chose de positif pour réduire votre stress plutôt que de fuir avec de l’alcool. Quelques avantages à faire une coupure ou arrêter l’alcool Pixabay Meilleure humeurPlus d’économiesMoins ou pas la gueule de boisPlus de temps pour faire avancer les chosesNe pas avoir de regrets de quelque chose de stupide que vous avez peut-être faitUne meilleure mémoireUn mode de vie sain Si vous êtes à la recherche de sources pour vous aider à faire une coupure, contrôler, ou même arrêter votre consommation d’alcool, il y en a un certain nombre à votre disposition. S’il vous plaît allez voir les liens affichés ci-dessous. // / / / Avez-vous abandonné l’alcool, ou fait un effort conscient pour réduire? Quelle a été votre expérience? S’il vous plaît partagez dans la section des commentaires ci-dessous! / Source
FemmeHomo SapiensTribunalBoisson AlcooliséeViolence ConjugaleNantesHôpitalMariageŒilHématomeComparution Immédiateil y a 2 1 minfacileLe PellerinNantesViolencesActualité en continuLoire-AtlantiquePays de la LoireRégionsUne histoire de violences conjugales exercées par une femme sur son mari, sur fond d'alcool, au Pellerin, a été jugée vendredi 1er juillet, à Nantes. La condamnation laisse la place à un avenir, pour le femme d'une cinquantaine d'années dans le box des comparutions immédiates, qui plus est ancienne éducatrice de jeunes enfants, ce n'est pas ordinaire. Brigitte1 porte un haut bariolé sous un gilet noir, ce vendredi. Une phrase sur…Ouest-FranceLire tout l'article
je ne supporte plus mon mari qui boit